La vérité est la première victime en politique. Les factions et les passions règnent. Les faits aléatoires sont pris comme armes, personne ne réfléchit. Il faut bien comprendre les faits entourant la mort de George Floyd. De nombreuses données clés sont ignorées : les tests sanguins de Floyd ont montré une concentration de Fentanyl environ trois fois supérieure à la dose fatale.
Le Fentanyl est un opioïde dangereux 50 fois plus puissant que l’héroïne. Il est rapidement devenu la cause la plus fréquente de décès chez les toxicomanes. La prise au genou utilisée par la police n’est pas une prise d’étranglement, elle n’entrave pas la respiration. Il s’agit d’une contention corporelle et on ne sait pas si elle a déjà causé des blessures mortelles.
Floyd avait déjà commencé à se plaindre en disant « Je ne peux pas respirer » quelques minutes avant l’application de la contention au cou, alors qu’il résistait aux officiers essayant de le faire monter dans la voiture de police. Le Fentanyl affecte la respiration, causant la mort par arrêt respiratoire. Il était normal de retenir Floyd parce qu’il résistait à l’arrestation, probablement sous l’effet d’un délire agité (EXD), un épisode d’agitation violente provoqué par une overdose de drogue, généralement bref et se terminant par la mort par arrêt cardiopulmonaire.
L’autopsie officielle a effectivement indiqué que l’arrêt cardiopulmonaire était la cause du décès et que les blessures subies lors de l’arrestation ne mettaient pas sa vie en danger. Les vidéos de l’arrestation ne montrent pas la police en train de battre ou de frapper Floyd, mais seulement de le retenir calmement.
Dans une vidéo, on entend Floyd crier et gémir bruyamment et de manière incohérente alors qu’il est maintenu au sol, ce qui semble être un signe de la phase violente et sonore de l’EXD. Sa capacité à résister à quatre officiers qui tentaient de le faire monter dans la voiture de patrouille est typique des cas d’EXD. Une courte poussée de force surhumaine est un symptôme classique d’EXD.
Des officiers de police de Minneapolis ont été accusés du meurtre de Floyd. Pourtant, toutes les preuves indiquent que Floyd avait pris une overdose de drogue si forte que sa mort imminente aurait difficilement pu être évitée. Selon toute vraisemblance, la police n’a été la cause ni intentionnelle ni accidentelle de sa mort. Ces faits cruciaux ont été complètement ignorés dans le tumulte médiatique.
Il est largement admis que George Floyd est mort à cause du genou d’un policier sur son cou, que ce soit par asphyxie ou à la suite d’une blessure au cou. C’est peut-être ce qui semble s’être passé, pour un spectateur naïf. En réalité, le rapport d’autopsie du comté dit qu’il est mort d’une crise cardiaque, et affirme qu’il n’y avait « aucune blessure mortelle ». Alors comment ont-ils pu conclure qu’il s’agissait d’un homicide ?